Local

À la Paz, la capitale de la Bolivie qui a connu le « day zéro » pendant l’été 2016 [jour où il n’y a plus eu d’eau courante dans les robinets], les bourgeois du centre-ville étaient à sec, tandis que les communautés plus pauvres, dans les bidonvilles, ont continué à avoir de l’eau car elles s’étaient organisées pour gérer la pompe comme un bien commun. (…) La plupart du temps, lorsqu’une ressource est privatisée, elle est détruite. Si elle est confiée à la gestion publique, cela donne parfois des catastrophes. La meilleure solution reste souvent de la confier à des communautés locales, à condition que des règles démocratiques et participatives soient mises en place pour une gestion raisonnable. (GG)

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