Solaris

Depuis longtemps, je ne lis plus l’influenceur Lundi Matin, que je trouve imbu de sa « ligne juste ».
Pas beaucoup de questions, de doutes, etc…
Or, au verso de la célèbre formule de M. René Descartes
« Je doute, donc je pense »,
j’ai tendance à entendre
« Je ne doute pas, donc je ne pense pas. »
J’aimerais, un jour, réfléchir au rôle exact de ce média dont les opinions exercent une influence non négligeable, me semble-t-il.

Si j’évoque L.M., c’est que, à quelques jours de distance, deux personnes m’ont fait part d’un article (que je n’ai pas lu) de Lundi Matin contre le réseau Solaris et son créateur, lequel semblait les avoir convaincus a priori.

Bien sûr que ce Frédéric Vidal soulève des suspicions :
collabore à France Soir, habite à Rennes-le-Château ;
sûr que ça peut être suffisamment horrible pour certains.
La première réaction que j’aie reçue à ce sujet disait en substance :
l’extrême-droite s’infiltre là-dedans…

Oui mais, voilà : l’évolution à venir pour ce pays (et les autres) qui sert de base aux propositions de Vidal est probable : encore plus de détresse.
Et ça mérite qu’on s’interroge là-dessus, en se demandant quoi faire, non ?

Comme l’initiateur n’exerce aucune fonction dirigeante sur Solaris, ce réseau va vivre de sa vie propre, c’est-à-dire de ce que sont et seront les gens qui le constituent.

« Les temps seront durs », nous assène-t-on depuis là-haut, et avec insistance depuis juillet.
Dans d’autres pays européens, d’ailleurs, l’antienne est tout aussi menaçante.

Il nous est notifié que les temps vont être désormais durs pour une majorité des gens, et non plus pour les seules « catégories défavorisées ».

Qui prépare à cette situation ?
Lundi matin ? je n’ose pas y croire, hélas.

Si quelques personnes, dans chaque patelin (ou quartier, ou rue) acceptent de regarder les choses en face et développer le don, la bienveillance, en s’appuyant les uns sur les autres, elles seront sans doute sur un bon chemin pour y faire face.
Est-ce que ça sert La Révolution ? J’ignore. (au fait, quelle révolution ?)

En tout cas, les principes d’autonomie, de non-hiérarchie, de non-déclaration officielle, et de non-allégeance aux États me semblent une bonne base.
De même, chercher à mettre en avant, et activer, les mille capacités et compétences des uns et des autres.

Le plus simple n’est-il pas d’aller y voir ?

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J’aime me poser des questions, et j’ai des convictions : les deux marchent de pair !

Mes billets, au jour le jour, s’ajoutent à pas mal de mes écrits anciens…

Aujourd’hui, je suis aussi l’éditeur de desinfo.

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