« Aujourd’hui, à force d’entendre des discours sur la fin du monde en raison du réchauffement climatique comme ceux prononcés par Greta Thunberg, par d’autres activistes et par certains dirigeants politiques, nombre de jeunes sont victimes du syndrome d’ éco-anxiété.
Près de 40 % des seize à vingt-quatre ans sont affectés par ce syndrome.
Le sentiment de la fin du monde ne date pas d’aujourd’hui.
Malthus prédisait une famine mondiale en raison de l’explosion démographique au XVIIIe siècle et pendant les années de guerre froide, le monde a vécu dans la peur de l’apocalypse nucléaire.
La question est de savoir si le monde peut s’adapter à tout. »
« L’anxiété est le principal problème dans les écoles néo-zélandaises », selon une enquête.
Les conversations avec les enseignants ont révélé deux problèmes ‘fondamentaux’ : les parents surprotecteurs (‘helicopter parents’) et ‘les choses auxquelles ils sont exposés aujourd’hui’. »
« Les parents surprotecteurs et autoritaires sont communs dans tous les pays, mais aujourd’hui nous constatons des choses absurdes que nous n’imaginions pas.
Cela peut être l’un des principaux responsables des problèmes sociaux au Japon. »
« Au Québec, les enquêtes épidémiologiques montrent que les troubles anxieux sont très prévalents chez les jeunes, affectant près de 10 % des enfants et des adolescents.
Au stress lié à la performance à l’école et aux relations sociales s’est ajouté progressivement l’anxiété provoquée chez les jeunes par l’utilisation démesurée des nouvelles technologies : 86 % d’entre eux fréquentent les médias sociaux quotidiennement, un sur cinq passe plus de cinq heures par jour en ligne. »
Par là-dessus, le Covid : Un adulte sur trois éprouve une détresse psychologique liée au COVID-19.
Sociétés mises à mal…
Que fera le Conseil de défense ?
Une énième loi « Sécurité » ?