Pharmafric

Je ne dispose d’aucune lumière particulière sur le monde des intérêts pharmaceutiques.
Pourtant, cette sphère de l’ultracapitalisme mérite d’être mieux connue, non ?
La brocarder ne peut suffire, même si c’est nécessaire.

Il m’est déjà arrivé d’entendre un ex-cadre de l’industrie pharmaceutique exposer les diverses raisons pour lesquelles, selon lui, il ne faut pas attendre de celle-ci qu’apparaissent les médicaments dont le monde a besoin.

N.N. Taleb estime que moins de 0,1 % des médicaments existants génère plus de la moitié des ventes de ce type de produits.

Pfizer ne joue pas dans la cour des petits. Il est assez logique qu’il ait visé d’une part à gagner haut la main la partie ‘vaccins’ de la pandémiose (lobbying inclus), et d’autre part à étouffer (lobbying inclus) les éventuels concurrents quant à ses futurs « médicaments ».

Son exploit le plus remarquable à mes yeux est d’avoir réussi à faire croire – c’est quoi, ‘croire’, en pareil cas ? – aux diverses instances publiques dont dépendait son autorisation de mise au marché qu’il n’existait AUCUNE alternative au vaccin. Trop fort ! Bravo !

J’aimerais en ce moment comprendre comment cette compagnie, avec d’autres peut-être, investit le domaine de l’information. Ça ne doit pas être très coûteux d’entretenir une équipe d’influenceurs du grand public… Moi, dans cette position, j’irais jusqu’à créer des pages wikipédia très aisément contestables, afin de les réfuter à l’aise.

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J’aime me poser des questions, et j’ai des convictions : les deux marchent de pair !

Mes billets, au jour le jour, s’ajoutent à pas mal de mes écrits anciens…

Aujourd’hui, je suis aussi l’éditeur de desinfo.

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