Je préfère écrire court, car … – et si je dis ça, c’est pas seulement pour que le lecteur ne perde pas le fil, c’est aussi pour que moi-même, risquant d’être entraîné par un jeu de synapses trop nombreuses et d’ailleurs parfois conflictuelles entre elles, j’y retrouve mieux mes petits, ou ce que je crois être mes petits, précisé-je, car on ne sait jamais quels ils sont exactement puisque… – Mais bon, oserai-je ajouter très modestement qu’écrire court est plus près de la langue que je parle que du discours que je ne sais pas faire ?