Comme tous les Uruguayens, j’ai voulu être footballeur. Je jouais très bien, j’étais une vraie merveille, mais seulement la nuit, quand je dormais : pendant la journée, j’étais la pire jambe de bois qu’on ait vue sur les terrains de mon pays. (EG) Moi, dans mes rêves nocturnes, ça m’arrive aussi d’avoir le beau rôle, mais c’est rare. Quant à mes rêves diurnes, je ne parlerai qu’en présence de mon avocat.