« OBSERVATIONS CLINIQUES DES GOUVERNANTS
J’observe un comportement tyrannique à l’égard des citoyens et professionnels par le biais du contrôle, de l’intimidation et de la censure relevant de structures pathologiques.
J’observe une volonté de vouloir imposer une pensée unique à laquelle tout le monde devrait adhérer sous peine de menace et sanction.
J’observe un comportement de toute puissance, s’auto proclamant « état thérapeute », se permettant de passer au dessus des lois, des médecins, bafouant serment d’Hippocrate et codes de déontologies.
J’observe derrière des mesures qui se voudraient apparemment sécuritaires des manipulations multiples à travers la désinformation et les injonctions contradictoires avec une volonté délirante et perverse sur les personnes pour qu’elles surestiment la gravité de la situation au profit de la perte de confiance dans leur capacité à faire face (à travers prendre soin de soi)
J’observe une volonté de renforcer les culpabilités et la stigmatisation de toute personne pensant autrement.
J’observe une absence totale de sens critique, de remords, une volonté de convaincre sans rapport avec la réalité.
J’observe des passages à l’acte sur les professionnels, les parlementaires, les citoyens (en les excluant de droit de regard et d’opposition), les censures, contrôles, sanctions.
J’observe une volonté d’assujettir, d’infantiliser les personnes passant par le biais des blessures et failles psychiques, des peurs et angoisses primaires de survie, menace d’annihilation, confusion émotionnelle, peur primitive de la cruauté, sidération, persécution, la culpabilité des personnes.
J’observe une dimension persécutive à travers la destruction de sens et de significations des mesures posées, un attachement à une idéologie politique pour un monde d’hyper contrôle.
J’observe une séduction narcissique à travers des discours flatteurs quant à notre obéissance déguisée en responsabilité, solidarité, une séduction narcissique derrière une apparence de bienveillance du sauveur, une fausse attitude compréhensive, toutes ces mesures étant pour notre bien évidemment…
J’observe une absence de morale, de culpabilité.
J’observe l’usage du mensonge répété malgré l’évidence des comptes rendus de nos spécialistes et médecin, pneumologues etc, l’usage de la menace, du chantage, du mépris des autorités médicales.
J’observe une absence d’affect au profit de l’intellect et du calcul.
Ces comportements relèvent de structures pathologiques.
(…)
Les gouvernements, dans leur valeur symbolique, représenteraient un peu le statut du « bon parent » dans lequel on a besoin d’avoir une confiance absolue, besoin de sécurité, de soutien de compréhension, de protection et envers lequel on se doit une certaine loyauté.
Serions-nous encore piégés dans cette alliance au point de nous taire ?
Envisager, admettre, reconnaître que le parent ne soit pas « bon et bienveillant » est souvent inenvisageable pour le cerveau humain, le psychisme car constitue une menace d’effondrement psychique, d’éléments dépressifs, de désillusion trop forte et insupportable… »
Laurence Leroy, Psychologue
Écrit en France fin 2020