Divers médias nous informent qu’une « précarité hygiénique » est en train de s’ajouter aux autres, car les pauvres ne peuvent plus se payer shampoing, déodorant, dentifrice, etc.
Un organisme d’études tout à fait sérieux note que, pour l’achat du PQ en Europe, la demande vers le bas de gamme croît.
Une correspondante m’écrit :
« Le vinaigre, le bicarbonate de soude, le savon noir, le savon de Marseille, tous ces produits simples sont encore trop méconnus.
Avec ce quatuor on se fait tous les produits d’entretien.
Si je calculais le prix des produits que je n’ai pas achetés depuis dix ans ou plus… »
Pot de terre contre pot de fer ?