école
Il est des périodes où tel ou tel malaise des uns et des autres est mis sur le devant de la scène.
Bon…
Une fille (elles sont des millions, dit-on) que l’endométriose empêche d’être en état d’étudier, ou de travailler, par exemple.
Et ça y est, c’est à l’ordre du jour.
Un jour ou l’autre, l’État-providence lui tendra une perche intéressée.
Bon…
En réalité, à l’école, c’est souvent que garçons ou filles ne sont pas « in the mood » pour bosser.
Pour tout plein de raisons :
l’horaire
le programme
les locaux
rester assis
le bourrage de crâne
pas d’appétit intellectuel
le chagrin (souvent plus présent qu’on ne le croit !)
la forme physique, ou psy, etc.
Mais, quand même, voilà :
vaillants petits soldats,
comme dans les tranchées ou au bureau,
faut tout de même y aller…
Oui, j’ai écrit ça : « soldats ».
(Pareil pour les profs, d’ailleurs…)