Il y a dans notre vie des matins privilégiés où l’avertissement nous parvient, où dès le réveil résonne pour nous, à travers une flânerie désœuvrée qui se prolonge, une note plus grave, comme on s’attarde, le cœur brouillé, à manier un à un les objets familiers de sa chambre à l’instant d’un grand départ. (JG)