Le premier « dictionnaire » breton connu est le Catholicon, en breton et français et latin.
Dans le Trésor du breton écrit /Teñzor ar brezhoneg skrivet,
Bernez Rouz indique que :
Amzer ar brezhoneg skrivet a ya eus ar bloaz 800 betek vremañ.
Le temps du breton écrit va de l’an 800 à nos jours.
Extrait de son article sur le Catholicon :
« En 1460, la fondation de l’université de Nantes a pour conséquence de faciliter l’accès des Bretons aux études. Ce n’est donc pas un hasard si le manuscrit du Catholicon date de 1464 : ce manuel trilingue aidait les jeunes bretonnants à acquérir le latin et le français. »
N’eo ket dre zegouezh neuze e oa bet savet ar C’hatolikon e 1464 : gant an dornlevr teiryezhek-se e veze sikouret ar vrezhonegerien yaouank da zeskiñ latin ha galleg.
Adaptation
Ce n’est pas hasard donc que fut écrit le Catholicon en 1464 : par ce manuel trilingue étaient aidés les jeunes bretonnants à acquérir le latin et le français. | N’eo ket dre zegouezh neuze e oa bet savet ar C’hatolikon e 1464: gant an dornlevr teiryezhek-se e veze sikouret ar vrezhonegerien yaouank da zeskiñ latin ha galleg. |