« La conjugalité nous a scellée en objets possédés l’un par l’autre.
On pourra difficilement accuser l’État ou le capitalisme de nous avoir mis dans ce merdier car c’est à deux que nous avons créé notre propre prison.
Je me fige à la fois en sujet possesseur et objet possédé.
Là où l’amour me ramenait à la curiosité, le désir, le partage ; je me retrouve à ressentir jalousie, possessivité, lassitude, amertume. »
J’ai piqué ça à Simon – « Ruptures« .