Reçu de Thierry :
Devant le rouleau compresseur mondialiste « powered » par ses pouvoirs désormais globaux dans beaucoup de domaines, les 2 facteurs me paraissent évident pour faire échouer ce plan machiavélique de concentration extrême du pouvoir de la planète dans les mains de quelques dizaines de familles:
- c’est l’ego surdimensionné de ces personnes qui causeront leur chute. Plus leur pouvoir est grand, plus ils deviennent, visiblement, psychopathes. Là, rien a faire, ça se passera tout seul. On voit d’ailleurs, par exemple, comment la fierté d’afficher certains de leurs symboles de société secrètes est un élément de réveil des peuples. C’est un phénomène naturel. Lorsque le mental de l’homme le conduit sur des chemins qui ne sont pas en harmonie avec les lois universelles de la nature, de l’évolution (qu’il se prend pour Dieu), ça ne marche jamais. Cf la chute de toutes les civilisations du passé.
- mais la clef à construire par les peuples pourrait venir de l’opposé du globalisme, par le local.
Retrouver une identité régionale, cultiver son identité culturelle, la ville comme entité politique repère des valeurs sociétales, le quartier comme élément clef des valeurs de solidarité et de codéveloppement, la famille comme socle des valeurs morales, et surtout soi-même comme chantier de connaissance et de centre de décision, le cœur le centre de toutes ces valeurs.
Et autant de grains de sable difficiles à gérer sur une échelle macro pour la machine mondialiste.
Cette solution à l’avantage d’être totalement pacifique qu’il « suffit » de construire ce plan sans s’occuper des globalistes qui, de fait, vont imploser progressivement, par pan des pouvoirs qu’ils ont accumulés depuis des centaines d’années.
La seule révolution valide que je vois toujours est la révolution du cœur. Pas d’évolution tant que l’ego pollue le mental lui même souvent devenu le dictateur de l’être. Pas de projet de Société valide tant que la nature n’est pas placée au cœur du projet. Tant qu’on aura pas compris la loi universelle folle, qui marche à l’infini – plus on donne, plus on reçoit – l’humanité se battra éternellement contre elle-même.
En arrivant, à fond la caisse, au pied du mur de l’ère du Kaliyuga, l’équation donne des résultats simples: s’écraser a toute vitesse dans le mur ou s’élever pour passer au dessus du mur et construire un nouveau paradigme sociétal.
Et pour cela, je ne vois pas d’autre possibilité autre que de partir du cœur de chacun pour épandre ce nouveau paradigme comme un virus dans sa famille, son quartier , sa ville, sa région puis globalement.
Ma réponse
Le dire, OK… Mais pour le faire, ça reste plus que marginal… Comment aller plus loin ?
(après la cata, il est probable que le message sera plus audible).
Sa réponse à ma réponse
Oui ben, au moins, c’est dit !
Comment faire?
La première étape est une question de conscience.
Je n’aime pas « prise de conscience ». La conscience ne se prend pas.
Je préfère la connexion a la conscience 😉
La 2ème est d’intégrer les éléments acquis par la conscience dans sa vie quotidienne.
C’est tout, et effectivement un grand chantier. Tu sais, je vois bien les gens tellement pollués par la propagande en « Occident » que ça paraît la-bas loin d’être réalisable, par contre ici un certain nombre de gens commencent à intégrer cette idée (y compris les russes !) même s’il sont loin de mettre encore leur cœur en adéquation avec l’Univers.
Perso, je me fous de ce que les autres font ou pas, je fais.
Le monde change parce que je change.
Faut bien relâcher le virus quelque part un jour pour créer une pandémie…
Des milliers de foyers, qui pensent ainsi existent déjà, parsemés sur la planète, sans faire de bruit mais touchent d’autres autour d’eux.
D’où, anyway, cette idée de local comme base d’un changement significatif.