Il est d’usage, dans les pratiques du néo-management, de débriefer. En fait, il me semble que c’est là habiller fallacieusement des conduites immémoriales : le besoin de faire du récit est universel. Mais, dans le cas du débriefing, je me dis que le tranchant du genre devrait être interrogé car, à l’ancienne, c’eût été révolutionnaire qu’hommes et femmes fissent leurs racontars de la même manière !