Dans certains cas, on ne meurt pas : on décède. Mais dans d’autres, on ne décède pas : ainsi les monuments « aux morts » seraient-ils malvenus de s’afficher « monuments aux décédés ». Ils ne vont pourtant pas jusqu’à parler de « tués », comme on le dit des victimes de la route, alors que l’intention de meurtre présidait bien plus évidemment à leur sort.