école
S’il se crée (demain matin, par exemple, pourquoi pas ?) des écoles du cœur comme il y a des restaus du cœur, je propose que leur parrain soit Cormac McCarthy, qui écrivit :
« Aucune créature ne peut rien apprendre que son cœur ne soit prêt à recevoir. »
C. McCarthy – De si jolis chevaux
Le même fait aussi dire à l’une des personnages du même bouquin – ça n’a pas de rapport, mais tant pis ! j’y vais… – « C’est toujours à soi-même que le lâche renonce en premier. Après cela, toutes les autres trahisons deviennent faciles. »
C’est pas un beau proverbe, ça ?