Errances médicales

Des « Rapports d’opération » au-delà des limites du cocasse. Le premier cas est celui d’une opération qui n’eut jamais lieu, puisque la patiente avait décidé de ne pas en « bénéficier » ; comme le rapport était signé de plusieurs médecins, la patiente se demanda un instant si c’était elle qui faisait erreur… Le second cas – rien à voir avec le précédent – fut en deux temps : un premier rapport affirmait que l’opération s’était bien passée, mais le second disait l’inverse ; en l’occurrence, la patiente était réellement décédée sur le billard.

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