ezhomm ~ besoin

« Si les universités restent la voie privilégiée,
« Ha pa chom ar skolioù-meur an hent pennañ

près d’un quart des étudiants choisissent d’intégrer des écoles privées (…)
e tiviz tost ur c’hard eus ar studierien mont e-barzh skolioù prevez (…)

Celles proposées sur Parcoursup sont présumées fiables (penser on fait qu’on peut avoir confiance)
Soñjal a reer e c’haller kaout fiziañs er re kinniget e Parcoursup

puisqu’elles disposent d’un visa,
peogwir o deus ur viza,

voire d’un grade de licence ou de master du ministère de l’Enseignement supérieur.
pe ur rez aotreegezh pe master eus ministrerezh an Deskadurezh uhel zoken.

Les autres, en revanche, appellent à plus de vigilance :
Ar re all avat a c’houlenn teurel muioc’h evezh :

c’est là que commence la jungle de l’offre de formation.
eno e krog janglenn ar c’hinnig stummadurioù.

Car pour ouvrir un établissement privé, aucune autorisation n’est nécessaire. »
Rak evit digeriñ un ti-skol prevez n’eus ket ezhomm eus un aotre. »

source : comment des écoles privées arnaquent les étudiants

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