école

Le marcheur Jacques Lacarrière évoque son passage au village d’Octon, où une brochure détaille les fouilles archéologiques réalisées avec l’aide des élèves de l’école.
« En un style imagé – qui rappelle celui des auteurs de dictée – l’Inspecteur départemental de l’éducation primaire a salué, dans une préface, ce salutaire renouvellement des méthodes pédagogiques.
‘Les bons maîtres ont compris, écrit-il, qu’il était indispensable d’apprendre à lire d’abord dans les manuels, puis dans le grand livre de la Nature, toujours ouvert et largement déployé sous nos yeux, mais qui garde jalousement ses secrets. (…) je dirai que les vrais fossiles, ce sont ces instituteurs qui emploient des méthodes démodées, archaïques, poussiéreuses et qui enseignent en 1955 comme leurs ancêtres de 1875, sans tenir compte de la marche inexorablement des progrès de la Loi de l’Histoire.’ «