La plupart des interviews font montre d’une complaisance
soit de l’intervieweur à l’égard de l’interviewé,
soit l’inverse,
et très souvent les deux.
Ces postures de l’un à l’égard de l’autre méritent réflexion, tant l’interview semble une forme « objective » de transmission de l’information.
Pour l’interview surprenant
(après un texte introductif)
que je signale ici,
faut parfois un peu s’accrocher…
Si je connaissais d’autres exemples de non-complaisance, je les signalerais aussi ; mais je n’en connais guère, hélas…