Je suis un corps, donc je suis.

Je sais que je suis égo parce que je ressens 1) primitivement mon corps 2) comme originalement à moi.

Si j’étais pur esprit, je me ressentirais enfoui, oui, dans la masse des consciences.
C’est d’ailleurs ce que diverses spiritualités me promettent pour quand mon égo sera bientôt mort (qu’est-ce que 100 ans, en effet ?).
Et c’est aussi ce que je ressens déjà quand je suis en transe collective (concert de « rock », rassemblement religieux intense, beuverie, etc.). Ce bain m’aide à supporter la misère d’être un égo.

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