C. me raconte qu’il a, une fois et c’était il y a bien bien longtemps, loué une robe et un attirail de prêtre pour faire du stop : il espérait augmenter de la sorte ses chances d’être pris à bord. Le compliqué, ce fut, me dit-il, quand, embarqué par un trio de bonnes sœurs, il lui fallut être à la hauteur !
Il prétend – je ne crois qu’un mot sur deux de ce qu‘il raconte – que, quarante ans plus tard, il se prépare à renouveler l’exercice, mais en robe d’évêque cette fois.
J’aimerais qu’instaurer deux ou trois ‘journées des fous’ par an soit au programme de l’un des candidats qui nous demandera un de ces jours de voter pour lui.