Le peuple est-il souverain ?

« Souveraineté » (…), c’est (…) trois choses :
une autorité (une aptitude à se faire obéir, comme foyer de légitimation et de justification des libertés sous son commandement),
une suprématie (l’instance souveraine n’a rien au-dessus d’elle dans son domaine propre, elle est indépendante des instances qu’elle supervise, qu’elle peut donc juger et réguler),
et une excellence (toute souveraineté tient sa noblesse et son rang élevé de sa fonction même d’anoblir, élever ou perfectionner ceux sur lesquels elle s’exerce) :
il ne peut donc y avoir de souveraineté bafouée (ou négligeable), subordonnée (ou dépendante) et vile (ou médiocre). » Source

Dans ce commentaire du livre « La souveraineté du bien » d’Iris Murdoch, Marc Wetzel présente une conception intéressante de la prière :
« N’ayons pas peur du mot « prière » employé ici, qui désigne une sorte de libre demande adressée par la conscience au meilleur d’elle-même. »

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