De Claude Bernard, fondateur de la médecine expérimentale, en 1865 :
« Le physiologiste n’est pas un homme du monde, c’est un savant, c’est un homme qui est saisi et absorbé par une idée scientifique qu’il poursuit : il n’entend pas les cris des animaux, il ne voit plus le sang qui coule, il ne voit que son idée et n’aperçoit que des organismes qui lui cachent des problèmes qu’il veut découvrir. »
Avons-nous affaire au même type de scientifiques par les temps qui courent ?