C’est Emmanuel Berg – que je découvre si tard – qui y est pris comme emblème : ‘sa passion pour Fénelon lui apprit à se méfier plus de soi que des autres’. En 1927, Berg écrit avec Drieu La Rochelle :
‘Il n’y a plus de presse libre. Il n’y a pas de journal, de revue où nous puissions exprimer notre pensée libre jusqu’au caprice individuel, jusqu’à la nuance originale. C’est qu’il n’y a plus d’individus, il n’y a plus que des groupes qui font imprimer par leurs employés, tous les matins ou tous les mois leur volonté systématique’.