école
Anna Lieti écrit que, vers cinq ans, elle était parvenue sans effort à parler couramment une autre langue, mais que, l’ayant oubliée et ayant été, vers douze ans, en position de la réapprendre via un travail scolaire, elle fut cette fois une parfaite cancre.
Elle cite aussi un cas très révélateur d’un travailleur forcené qui renonça à parler jamais un traître mot d’une langue étrangère dont il connaissait pourtant parfaitement la grammaire et un très ample vocabulaire, pour y avoir consacré un temps de travail infini.
Mary.G raconte une drôle d’expérience : « Apprendre la langue de l’autre en l’aidant à apprendre la mienne. »