Mal élevé ?

école

« Ai-je été si mal élevé ?
C’était une sorte de tradition de la maison, une loi de compensation instaurée par des êtres fragiles, que de célébrer les avanies.
Enfant, je fus parfois fêté quand je ramenais de mauvaises notes, pour me consoler de n’en avoir pas de bonnes (mon parrain (…) me donnait dix francs chaque fois que j’étais le dernier), ou quand je m’évadais d’un collège, pour prévenir le désenchantement des lendemains »

Antoine Blondin – Monsieur Jadis ou L’école du soir.

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