Reconnaissance

école

Au verso

Au sujet de l’acharnement scolaire des Coréens que rapporte La Docte.
Ni là-bas ni ailleurs, les machineries scolaires ne se préoccupent de fournir aux jeunes la moindre utilité immédiate.
Ce à quoi sont poussés ceux-ci – au besoin jusqu’à un stade dément -, c’est non seulement une réussite individuelle ultérieure, mais un résultat dans un autre univers que celui où ils vivent l’instant présent.
Aucune utilité n’est envisagée, ni à destination des congénères, ni à destination de « la société ».
Est-il donc possible de vivre sans reconnaissance aucune de la part d’autrui, dans l’instant que l’on vit ?

Pas de reconnaissance, piètre image de soi, ça ne crée pas un terrain fertile pour les harceleurs, ça ?
Bien sûr, il y a les médias sociaux – l’adjectif est tout à fait approprié – où l’on peut, non seulement liker les productions d’autrui, mais mettre en circulation ses propres produits si o le souhaite, et obtenir des retours à leur sujet.
Oui mais, oui mais : ces espaces dits virtuels sont encore plus favorables au harcèlement que le face-à-face !

Au recto

Au sujet de son billet « Miracle ».
Des profs manquant de reconnaissance, eux aussi…

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