Records pulvérisés !

Lu ceci (extraits) :

(en France) « si l’on additionne les conséquences les plus graves, pour chacun des 4 vaccins, l’on parvient au constat de plus de 15 000 événements indésirables graves, parmi lesquels près de 1 800 hospitalisations, plus de 2 800 mises en jeu du pronostic vital et près de 1 000 morts. Le tout en seulement 6 mois.

Par comparaison, indiquons par exemple qu’il y a eu 863 homicides en France sur l’ensemble de l’année 2020. A eux seuls, les vaccins anti-covid feraient donc plus du double de victimes que les homicides.

A la date du 14 juillet 2021, l’agence britannique reconnaît 999 morts liés à l’injection du vaccin AstraZeneca, 460 liés à celle du Pfizer et 31 autres, ce qui porte le total à près de 1 500 morts.

En Europe, à la fin du mois de juin, la pharmacovigilance européenne avait déjà enregistré environ 9 000 décès liés à la vaccination uniquement pour le vaccin de Pfizer, notamment du fait de complications cardiaques, pulmonaires ou cérébro-vasculaires, inclues des morts par Covid (un comble pour les vaccins anti-covid…).
Par ailleurs, ces données livrent également un deuxième constat très préoccupant, qui est le fait que ces risques d’effets indésirables graves concernent non seulement les personnes âgées de plus de 65 ans, mais aussi les nourrissons et les adolescents (12-17 ans).
En d’autres termes, les vaccins génétiques anti-covid utilisés en Europe présentent des risques d’effets indésirables graves (pouvant aller jusqu’à la mort) dans des catégories de la population qui ne sont nullement menacées par la Covid.

Aux Etats-Unis, en 6 mois, la vaccination anti-covid a tué 5 fois plus de personnes que la vaccination anti-grippe en 30 ans.
Ceci confirme d’une autre façon encore que nous sommes bien en présence de vaccins d’un nouveau genre, dont la dangerosité est inédite. 

Cette mortalité vaccinale (qui n’est que la pointe immergée de l’iceberg des effets indésirables graves) est donc inédite, elle est particulièrement grave et sa dissimulation l’est plus encore.
Soyons clair : dissimuler d’une façon ou d’une autre un tel danger est tout simplement criminel vis-à-vis de la population.

Même réduite à ses plus élémentaires principes de déontologie (primum non nocere), l’approche de cette question en termes de santé publique devrait conduire
– à suspendre d’urgence la campagne vaccinale,
– à étudier beaucoup plus en détail les données de cette pharmacovigilance (en particulier selon les classes d’âge et en fonction des différents facteurs de risque)
– et, au terme d’une analyse bénéfices/risques méticuleuse, à déterminer à quelles catégories bien précises de la population il est possible de proposer la vaccination sans risque que les effets indésirables graves soient plus nombreux que les formes graves de la Covid dont elle sensée les protéger.

Toute autre approche ne relève pas de la santé publique mais de postures idéologiques ou d’un marketing commercial. »

Nota important
L’article de Laurent Mucchielli dont proviennent ces extraits a été censuré par Mediapart fervent défenseur de la vaccination).

*

Réflexion Mille de plus ou de moins…

Et, en même temps, chaque semaine voit progresser l’implantation de petits trucs expérimentaux dans le cerveau humain pour – c’est juste un exemple – accroître les achats d’impulsion.

C’est tout ça que nous avons la « chance » de vivre en direct, et qui n’est plus guère dirigé que par des irresponsables.
Ou des fous ?

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J’aime me poser des questions, et j’ai des convictions : les deux marchent de pair !

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Aujourd’hui, je suis aussi l’éditeur de desinfo.

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