Sceptiques

désinformation

Il y a sceptiques et sceptiques !

Ici, l’on désigne par sceptiques ceux qui se donnent pour mission de pourfendre la version offof.
, le même mot désigne exactement le contraire !

L’affaire se complique quand on ne veut tenter d’ apparaître ni trop d’un bord, ni trop de l’autre…
Par exemple, dans cet article de Télérama, je me perds un peu-beaucoup à tenter de comprendre ce qui est ironique ou non, premier ou deuxième degré, etc. (Je me demande bien comment ça peut être perçu par un lecteur habituel de ce magazine !) (Ou peut-être n’ai-je rien compris à cette gymnastique rédactionnelle ?)

Force est de constater que, dans cette affaire, ce sont en général des visions du monde contrastées qui s’expriment – bien au-delà du sujet concerné : Ukraine, covid, réchauffement, p.ex.

Ce qui est nouveau, c’est que, désormais, ces deux scepticismes opposés coexistent plus visiblement que jamais, dans tous les domaines où les enjeux sont importants.
On pourrait se dire « Tant mieux ! », « Vive le débat !
Sauf que le débat n’est pas toujours souhaité, car la lutte prime.
Et sauf que cette lutte est à armes inégales.
Que faire ?

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J’aime me poser des questions, et j’ai des convictions : les deux marchent de pair !

Mes billets, au jour le jour, s’ajoutent à pas mal de mes écrits anciens…

Aujourd’hui, je suis aussi l’éditeur de desinfo.

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