Quand je suis constipé, j’aspire à l’insouciance colorectale.
Quand je désespère, j’aspire à l’habituelle insensée insouciance mentale ordinaire, nommée « santé ».
Quand je veille, j’aspire parfois à l’insouciant sommeil ; mais jamais, au grand jamais, quand je suis endormi, n’ai-je encore aspiré aux soucis du réveil.