Certaines « vérités » sont mieux armées que les autres ; or, à vérité, vérité ennemie. Il y a celles de l’accepté et celles du réprouvé, du masculin et du féminin, du jour et de la nuit, du sauvage et de lui qui se croit, de ceux qui désirent encore et de ceux qui ont abandonné, des victimes et des salauds, de ceux qui ont 4 ou 5 repères et de ceux qui en auraient tout au plus 1 et demi, d’une soirée et de son lendemain, de lui qui doute et de lui qui n’a jamais douté, de lui de Plouégat et de lui d’Ambovombe, d’icelui qui a tout à perdre et d’icelle qui n’a rien à gagner, du gigolo et de sa rombière (mais je m’égarde peut-être ?), de lui qui tient le monde et de lui à qui tout échappe, d’elle qui parle et de lui qui se tait, de lui qui mendie sa place et de lui qui l’enserre fermement de ses deux fesses, de lui d’un côté des Pyrénées et d’elle, la pôvre, de l’autre côté, du Père Noël et d’il était une fois, d’un pape et de l’autre, de ceux qui fabriquent le fric et de ceux qui y croient, de celui qui veut faire plaisir et de celui qui n’en a cure, du risque-tout et du timoré, de lui qui n’a rien à faire pour que ça marche et de lui qui a tout à faire pour que ça marche ne serait-ce qu’un tout petit chouia, de lui qui croyait au ciel et de lui qui n’y croyait pas, du blaireau et du fesse-mathieu, …