Hier, samedi, la police recensait 62 homicides au Salvador, pays de 6,5 millions d’habitants.
Plusieurs victimes ont été abattues dans la rue et semblent avoir été choisies au hasard par leurs agresseurs.
Un marchand de fruits, un boulanger…
Les cadavres abandonnés, à la vue et au su de tous.
La Prensa y voit clairement un acte politique, un «message au gouvernement».