On a assez dit que les capitalistes producteurs de vaccins anti-covid se sont d’avance exonérés de toute responsabilité concernant les fâcheuses conséquences de leurs coups de poker marketing.
J’y ajoute deux points.
1- L’Agence européenne des médicaments, elle aussi, « décline toute responsabilité (…) découlant des informations contenues sur (son) site web, y compris les informations relatives aux documents qu’elle publie, ou en rapport avec celles-ci. (…) Les informations fournies par l’Agence ne sont pas nécessairement complètes, exhaustives, exactes ou à jour. »
À qui donc me fierai-je ?
2- Mais surtout celui-ci.
Au Sahel, le médicament est un précieux objet de contrebande, au même titre que les armes et la « drogue ».
Dans divers pays du Sud, des médicaments sont en vente sur les marchés sans notice d’emploi et sans date de péremption : l’acheteur se guide sur la couleur ou la forme de la plaquette ou de la gélule magique (les boîtes sont encombrantes, peu attractives, et gênent la vente à la pilule), le témoignage de parents ou voisins, ou encore la préconisation du sorcier aisément transformé en Dr Knock.
J’ai lu que l’erreur médicamenteuse est fréquente en Occident, figurant même dans le top des causes de mortalité prématurée.
Mais qu’en est-il ailleurs ?
=> N’y aurait-il vraiment aucune responsabilité européenne dans les trafics et contrebandes de médicaments de par le monde ?
En général.
Et tout particulièrement concernant les vaccins anti-Covid devenant facteur de létalité ?
La thématique Covax – généreusement donnée en pâture aux médias – n’épuise vraiment pas le sujet, ce me semble !