Cheval de Troie

La peste bubonique avait ramené la population de Rome d’un million à vingt mille, et celle de Constantinople de 500 000 à 150 000.  w
En comparaison, l’hécatombe Covid a-t-elle ramené celle de Marseille de 870 000 à 30 000 ? ou à 300 000 ? ou ne serait-ce qu’à 850 000 ou même à 860 000 ? Non.
Ou celle de Strasbourg de 290 000 à 280 000 ? Non plus.

Ok, ok, les « mesures » anti-Covid ont, bien sûr, limité les dégâts apparents.
Mais est-ce vraiment tout ce qu’il y a à en dire ?

Question : Ce satané coronavirus n’a-t-il pas servi de Cheval de Troie pour des bouleversements économiques et sociaux souhaités ?

Question plus précise : Si oui, et bien en amont de celle du « grand reset » chère aux complotistes : une catastrophe monétaro-financière titanesque menaçant de ruiner capitalistes, banquiers et spéculateurs n’aurait-elle pas, ainsi, été éloignée ?
J’aimerais y voir un peu clair.
Et j’ajoute : cette question a-t-elle à voir avec la conjecture marxiste de la « baisse tendancielle du taux de profit » ?

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J’aime me poser des questions, et j’ai des convictions : les deux marchent de pair !

Mes billets, au jour le jour, s’ajoutent à pas mal de mes écrits anciens…

Aujourd’hui, je suis aussi l’éditeur de desinfo.

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