Je me souviens avoir éteint « le poste » (la radio) pour de bon quand, il y a une vingtaine d’années, un certain ton frelaté fut déjà imposé à Jeannot, mon copain journaliste radio.
Puisque ledit copain avait courbé l’échine et appris à « bien » parler dans le poste, j’avais aussi éteint ma relation avec lui :
« S’il est aujourd’hui capable d’accepter une telle mise aux normes de sa parole pour rester en piste, quelles autres injonctions de « là-haut » sera-t-il donc capable d’accepter demain ? »
Et l’on sait à quelles dérives les journalistes ont été conduits lors de la folie-covid…
Aujourd’hui, dans d’autres domaines, des officiels admettent s’être trompés.
Question Covid, non.
Jamais ?