De deux tragédies l’une

« En 1914, aucun dirigeant européen n’était dément, aucun ne voulait une guerre mondiale qui ferait vingt millions de morts mais, tous ensemble, ils l’ont déclenchée.
Et au moment du traité de Versailles aucun ne voulait une autre guerre mondiale qui ferait soixante millions de morts mais, tous ensemble, ils ont quand même armé la machine infernale qui allait y conduire. »

C’est ce qu’énonce Monsieur Henri Guaino dans leur Figaro, à propos de notre course mondiale actuelle, tête baissée, vers la guerre.

A ce sujet, Jojo me disait, lui :
« Puisque – affaire de quelques dizaines d’années tout au plus -, la disparition de l’humanité est en bonne voie, mieux vaut que Poutine y aille de sa mahousse apocalypse. Et au plus vite !
Ça évitera bien des drames.
Et puis, ça exaucera, ô combien, les vœux des radicaux religieux de diverses obédiences, qui s’activent pour ça… ».

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