Zinzin évoque Stig Dagerman.
Il me fait me rappeler que l’un des premiers romans qui m’éveilla au fait qu’il peut donc exister de très bons romans fut « Ennuis de noce » de cet auteur.
Je n’étais – et ne suis – sans doute pas bon juge, n’ayant lu ni M. Proust, ni Mme Bovary.