désinformation
La « grammaire africaine » de M. Roland Barthes, à propos notamment de la guerre d’Algérie :
« un langage qui fonctionne essentiellement comme un code, c’est-à-dire que les mots y ont un rapport nul ou contraire à leur contenu (…)
une écriture que l’on pourrait appeler cosmétique parce qu’elle vise à recouvrir les faits d’un bruit de langage. »