Grammaire

désinformation

La « grammaire africaine » de M. Roland Barthes, à propos notamment de la guerre d’Algérie :
« un langage qui fonctionne essentiellement comme un code, c’est-à-dire que les mots y ont un rapport nul ou contraire à leur contenu (…)
une écriture que l’on pourrait appeler cosmétique parce qu’elle vise à recouvrir les faits d’un bruit de langage. »

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J’aime me poser des questions, et j’ai des convictions : les deux marchent de pair !

Mes billets, au jour le jour, s’ajoutent à pas mal de mes écrits anciens…

Aujourd’hui, je suis aussi l’éditeur de desinfo.

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