Toujours plus,
de plus en plus fort
et toujours plus haut :
lamentable réussite humaine !
A qui la faute ?
aux vendeurs de paradis ? aux paradis fiscaux ?
au communisme ? au capitalisme ?
à toi ou moi ? à ta voisine ?
aux gens ? à leurs parents ?
aux dirigeants ? aux dirigés ?
à la cruauté ? à l’indifférence ?
L’avidité est mère de tous les vices, proclame Zinzin urbi et orbi.
Entièrement d’accord : l’avidité est le germe du suicide collectif auquel les humains ont consenti, parfois de plein gré, le plus souvent de force ?
La révolution-agricole-sédentarisation a boosté cette avidité :
propriété de quelques-uns, richesse de quelques-uns, auto-défense, conquête, alliances, nations, États, etc.
Puis vinrent l’évolution industrielle, et celle du dernier demi-siècle, que nous vivons encore, mais qui n’ont, ma foi, pas vraiment bouleversé les choses.
Il me semble que le nouveau grand changement historique est, maintenant, juste là, devant nous, largement ouvert à une tyrannie universelle.
Voir aussi cet article de Oncle H.