On m’l’aurait dit…

Je lis – donc c’est vrai ! – je lis dans le Classique pour tous Hatier Voltaire – Lettres philosophiques
(c’est un peu comme mon propre Gloussaire, en mille fois plus bavard hélas !)
un « sujet de composition française » (Grenoble 1924) :

« En 1760, Voltaire ayant appris qu’une petite nièce de Corneille était réduite au dénuement, la fit venir au château de Ferney.
Vous supposerez que, quelques années plus tard, cette jeune fille écrit à une de ses amies d’enfance pour la mettre au courant de sa vie.
Imaginez cette lettre. »

On m’l’aurait dit, j’l’aurais pas cru !

J’aurais eu bien du plaisir à lire la lettre en réponse qu’aurait écrit l’amie d’enfance en question.
Mais bon, le mieux est parfois l’ennemi du bien…

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