Boris Cyrulnik : « Les enfants les plus affectés par la pandémie souffriront de dépression chronique ».
Le neuropsychiatre français estime que ce sont les adolescents qui ont payé le prix le plus cher de l’épidémie de coronavirus.
Certains ne récupéreront pas ce qu’ils ont perdu.
Pareil pour les affamés jeunes, je suppose ?
Eh ben, ça en fait, du monde ! Bientôt, donc, le vaccin contre la dépression ?
(ah non, j’oubliais : les affamés sont insolvables par-dessus le …marché)