Je lis dans un roman de Bruno Vivancos aussi étrangement fabuleux que terrifiant :
« Mon thé m’offre des sensations exceptionnelles, c’est comme un baume d’éveil, une caresse sur le cœur.
Je ne sucre pas et ne pense jamais à ceux qui le cueillent à la main pour des miettes de pain.
Pourtant je sais qu’ils le font pour moi. »