‘La réponse à COVID-19 a été fondée sur l’hypothèse que les individus asymptomatiques positifs à la PCR peuvent propager la maladie. Cette hypothèse a simplement été acceptée comme un fait et, jusqu’à présent, n’a jamais été démontrée de manière adéquate dans les preuves scientifiques disponibles.
(…)
Une PCR positive n’est pas une preuve de contagiosité.
Trouver des personnes dont le test est positif mais qui ne présentent aucun symptôme pendant une épidémie est souvent une indication d’immunité, et non une indication de transmission.
Malheureusement, cet aspect a été largement négligé dans l’ensemble des hypothèses qui guident actuellement les politiques.
(…)
Lorsque le processus de réplication virale est bloqué par un système immunitaire sain, le virus est neutralisé, ce qui empêche une réplication et une excrétion virales importantes.
Cela se produit chez environ la moitié des personnes exposées au virus.
(…)
Il n’existe pas de preuves solides de la propagation asymptomatique, et cela va à l’encontre de toutes les connaissances antérieures sur le mode de transmission des virus respiratoires.
(…)
Il ne serait pas déraisonnable d’affirmer que les mesures extrêmes actuelles sont entièrement fondées sur l’hypothèse d’une propagation asymptomatique de la maladie, car sinon, il suffirait de demander aux personnes symptomatiques et à leurs contacts de s’isoler.
Étant donné que l’hypothèse d’une propagation asymptomatique est à la base de toutes les autres interventions non cliniques (tests de masse sur les personnes saines, port obligatoire de masques, éloignement social et confinement), les décideurs doivent de toute urgence réévaluer les données disponibles.’
By Dr John Lee, retired Professor of Pathology, en mars 2021.
Le même Dr Lee écrivait en avril 2020 :
‘Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi les hommes politiques se sont sentis obligés d’agir, au vu des images bouleversantes des patients du Covid-19 qui ont fait le tour du monde, et de ce qu’on nous a dit sur les scénarios les plus pessimistes. Mais le fait que tant de gouvernements se soient serrés les coudes, prenant des mesures extraordinaires basées sur la modélisation et la prédiction, ne témoigne pas de la validité de ces modèles. C’est plutôt une preuve de ce qui peut arriver lorsque l’émergence d’un nouveau virus interagit avec la science et la politique à l’ère du multimédia. Et combien il peut être difficile, en période de panique, de s’arrêter et de réfléchir.
Il est temps pour nous de revenir, de manière critique et calme, à un débat scientifique approfondi et robuste qui génère un éventail d’opinions sur la gravité et la signification de ce virus. Et pour nos politiciens, il est temps de peser ces opinions divergentes avec une extrême prudence, en les comparant aux inconvénients clairs et manifestes du confinement. C’est aux ministres, et non aux scientifiques, de décider si, à la lumière de l’évolution des preuves et de la compréhension, notre réponse au virus est proportionnée – et comment nous faire avancer.’
Lire quelques-uns de ses articles