N’est-il pas paradoxal que l’Europe s’aventure en guerre
contre un aspirant empereur,
alors que les mesures qu’elle prend contre lui
renforcent sa dépendance à un empire bien établi ?
A cet égard, peut-être y a-t-il du nouveau ces jours-ci.
Comme chacun sait, partir en guerre,
c’est courir le risque de la perdre.
Or l’Ogre Sam,
après avoir longuement espéré avoir la peau de l’ours Poutine,
semble ne plus trop y compter :
le voilà qui se distancie de ce jusqu’auboutisme
…que l’Europe a adopté dans son sillage
et qu’elle continue de claironner à nos oreilles.
=> L’effet d’inertie
suffirait-il à causer l’échec de l’Europe,
ce « non-belligérant » en guerre,
d’abord économique,
puis de plus en plus militaire ?
Avec, à la clé, combien de centaines de milliers de cadavres ?
comme le souligne Zinzin.